Savoir-Être, un problème social
Les inégalités sociales, les systèmes éducatifs disparates, les croyances différentes, les religions hétérogènes… engendrent un melting-pot culturel qui n’est pas toujours en concordance avec les cultures, règles et manières de faire dans le monde professionnel.
De plus, nombreuses sont les personnes qui ont du mal à accepter les différences, à admettre que l’intérêt général passe avant leur bénéfice personnel, ou ne savent pas donner de leur temps pour atteindre des objectifs collectifs.
Les contraintes de temps et de lieux font que les personnes doivent adapter désormais leurs besoins en fonction de leurs possibilités. Quoi de mieux que de suivre de courtes vidéos ludiques lors de moments « perdus », dans des transports en commun, à la fin d’un repas, durant un break… L’aspect économique favorise également ce type d’enseignement à distance : pas de professeur en présentiel, pas de structure d’accueil, pas de frais connexes d’organisation, pas de déplacement particulier…
Cette formation, peu onéreuse, facile d’accès, rapide et ludique, est prioritaire lors de risque épidémiologique, apprentissage en dehors des locaux de l’entreprise, à l’extérieur du domicile, en vacances…
Sont concernés par le Savoir-Être :
L’impact de l’amélioration du Savoir-Être touche donc un très grand nombre de personnes (+ de 30 millions dans le milieu professionnel)
Nous sommes tous concernés par le comportement des autres.
Le mauvais comportement, en cas extrêmes, engendre des conséquences dramatiques lors d’épidémie, non-respect des règles de sécurité...
Les jeunes et demandeurs d'emploi sont principalement concernés par ce sujet. Ils doivent être socialement prioritaires, ne pas être à la charge de la société mais au contraire garantir un avenir serein à l'ensemble de la collectivité.